Comportements
professionnels
Corrigé
série n° 8
L'appétit pour la formation
professionnelle comptable
Réponse 1 : Parmi les émotions négatives on peut citer :
- colère
- peur
- ennui
- incapacité de se
concentrer
- incapacité de
produire
- dépression
- solitude
- incompétence
- apitoiement sur son
sort
- manque de maîtrise de
soi : incontinence émotionnelle
- sentiment
d'infériorité
- haine
- culpabilité
- agressivité
Réponse 2 : Deux aptitudes peuvent être qualifiées d'excessives et sont
donc à proscrire :
1-
L'attitude du comptable négatif, autosuffisant, envieux et qui dénie tout
besoin de nouveaux apprentissages.
2-
Celui qui, face au désir de tout vouloir maîtriser, ne sait plus planifier de
façon pertinente son plan de développement des compétences.
Réponse 3 : «Un comptable qui lit est un comptable qui vit» se dit pour
les raisons suivantes :
- La lecture attentive et professionnelle indique un
état d'esprit positif et une volonté de développement personnel.
- La lecture permet d'accumuler les outils pour
enrichir son intelligence professionnelle, ses pratiques et ses expériences.
On peut absolument dire de même pour un groupe : un groupe qui lit est
un groupe qui vie. D'ailleurs, lorsqu'on travaille dans un groupe positif, qui
développe ses savoirs et ses échanges, la lecture favorise l'émergence d'une
culture commune forte et très favorable au développement professionnel de
chaque élément du groupe.
Réponse 4 : La reconnaissance des compétences se manifeste par :
- la formation de base : le diplôme.
- le marché : l'employabilité.
- La profession : la considération des pairs.
- La recherche : le nombre de citations.
- L'entreprise :
--> la réussite face aux épreuves de contrôle
--> la
confiance et la considération des collègues et de la direction
--> la mise à disposition des moyens
adéquats
--> la
rémunération
- La formation post-diplôme : la certification professionnelle.
Réponse 5 : Les difficultés et aléas inhérentes aux activités
comptables et fiscales, généralement sous-estimés par l'environnement, créent
un besoin pressent de reconnaissance chez les comptables.
Réponse 6 : Florence Osty avance le postulat
suivant qui explique pourquoi la quête de reconnaissance des comptables est
rarement satisfaite : «plus la compétence opératoire est méconnue, voire déniée
dans un système, plus la quête de reconnaissance devient périlleuse et
inassouvie».
Réponse 7 : La reconnaissance n'a de sens que
lorsqu'elle est globale c'est-à-dire portant à la fois sur la compétence
technique et la compétence comportementale.